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 jude

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Date d'inscription : 13/09/2009
Messages : 858

Feuille de personnage
R e l a t i o n s ||:

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MessageSujet: jude   jude EmptySam 14 Mai - 13:49



OUR FATE IS DRAWN   Vampire




McCallyster Jude.


╚♣ I'm, as I am.
CRUELLE - ORGUEILLEUSE - RANCUNIERE - SENSIBLE -ARROGANTE - FRAGILE - TOUCHANTE - ATTACHANTE - CACHOTIÈRE - JOUEUSE  
♣️ Me and my revolution
Vous me connaissez sous le nom de Jude McCallyster , je suis maintenant âgé de 466 ans mais je n'en fais que 21 ans. Eh oui je suis un vieux mais ne vous fiez pas aux apparences ! Je suis originaire d' Ecosse, né à Glasgow en 1545. Apprêtez vous à me voir entrer en piste ! Je suis plutôt de classe moyenne, et j'aime les garçons mais je dois le dire je suis célibataire mais pas libre

jude 4ftv7r

Parce qu'on a tous notre petite histoire.

    « Père je suis rentrée de ma ballade avec Nanny. »

    Je venais de rentrer à la maison après une longue promenade avec ma nounou et en rentrant à la maison je voulu prévenir mon père de mon retour, cependant il ne m'écoutait même pas parler. Il était occuper à discuter avec des amis qui étaient venus lui rendre visite. Je m'avançais dans le salon mais aucun d'eux ne détourna le regard sur moi ne serait-ce que par politesse. L'un de mes grands frères le plus vieux de tous, car oui j'avais cinq frères tous plus grand que moi, me remarqua et s'avança vers moi avec un sourire moqueur.

    « Sors d'ici Jude tu sais qu'il ne te voit et ne t'écoute même pas parler alors fout le camp avant qu'il ne se fâche. »

    « Mais Charles je veux juste le saluer lui et ses amis » Lui répliquais-je en baissant la tête.

    « N'as tu donc pas compris que tu n'as aucune importance à ses yeux, il n'y a que nous ses fils qui comptons alors dégage Jude. »

    Sur ces mots je sortais du salon pour aller chercher ma mère en larmes. Elle était dans je jardin entrain de lire un quelconque roman. Assise sur le banc les cheveux noir lâché le long de son corps, le visage toujours aussi pâle, elle était vêtue d'une longue robe rouge et noir qui se mariait parfaitement avec son teint. Maman était une belle femme, une très belle femme et j'enviais tellement sa beauté naturelle, plus tard je voulais être aussi belle qu'elle. Je m'approchais donc d'elle tranquillement arrivée à sa hauteur je mis mes mains l'une dans l'autre devant mes jambes et ma mère leva le regard vers moi avec son plus beau sourire.

    « Qui y a-t-il donc mon enfant ? »

    Elle l'avait remarqué, cette tristesse sur mon visage, après tout on ne pouvait pas la rater non plus quand on voyait les larmes qui coulaient sur mon visage. Ma mère était l'unique personne qui le remarquait et qui s'en souciait, elle et ma nounou qui était elle payée pour s'occuper de moi.

    « C'est Charles, mère. Il a encore dit que père ne s’intéressait points à moi que les seuls qui comptaient pour lui était ses fils. »

    « Mon enfant votre frère ne pense pas ce qu'il dit. Il a juste peur que vous preniez une plus grand place que lui dans le coeur de votre père, il est jaloux de vous car vous êtes l'unique fille de votre père et la plus petite de la famille. Ne vous en souciez point de ce qu'il vous dit et vous verrez qu'avec le temps il arrêtera ses sottises. »

    Ma mère me prit la main et m'attira vers elle pour me câliner et sécher mes larmes. La douceur de ma mère était sans pareil j'aimais tellement quand elle me réconfortait ainsi, il n'y avait qu'elle qui y arrivait après une cruauté pareil d'un de mes frères. Je posais ma tête contre son épaule et elle vint me caresser la joue délicatement et posa son autre mes dans mes cheveux pour me consoler un peu plus.

    Ce fut malheureusement la dernière fois que ma mère pu ainsi me consoler. A mon grand regret ma mère était atteinte d'une malade grave et peu de temps après cette dernière discutions elle du rester au lit à longueur de journée et n'avait point droit aux visites sauf de son mari qui était tous les jours à son chevet. Un plus grand malheur que sa maladie arriva comme on le craignait, son état était critique et il ne lui fallut même plus trois mois pour mourir.

    Mère était morte, Père ne prêtait aucune attention à moi, Charles le plus grand de mes frères ne faisait que me rabaisser à chaque occasion, quand à mes autres frères c'est à peine si il savait que j'existais et que j'étais leur soeur. Pour eux j'étais la fille ou la petite soeur de la gouvernante et ça me faisait tellement de mal d'être ainsi ignorée. Je voulais tellement avoir un peu d'attention de leur part et je faisais tout pour cela, j'étais devenue une petite fille, enfin petite n'était pas le mot car j'avais quand même quatorze ans à la mort de ma mère et là j'avais dix sept ans, agitée. Je suivais mes frères dans leurs escapades même si je n'étais pas invitée à y participer. Je bravais les dangers, grimpant dans des arbres, escaladant des murs, je finissais toujours blessée mais cela m'importais peu car je voulais avoir l'amour, ou en tout cas l'attention de mes frères.



    « Mais qu'est ce que tu fous encore là toi! »

    Mon grand frère Charles repassait encore à l'attaque alors que j'étais tranquillement assise dans la bibliothèque à lire un des livres de ma mère, les cheveux lâche le long de mon corps je portais une robe rouge qui se mariait parfaitement avec mon teint pâle. Je devais avoir maintenant dix huit ans et j'avais la beauté naturelle que j'enviais tant à ma mère à l'époque.

    « Je lis. »

    Une réponse, simple, très courte et très claire.

    « Tu crois que je suis aveugle ça je le vois que tu lis mais t'es pas au courant qu'on t'attend dans le salon ou quoi? Tu devrais arrêter de faire ta désirée, pour une fois qu'on a besoin de toi tu oses te cacher comme une sotte. »

    « Menteur! »

    « Penses tu vraiment que je n'ai que ça à faire ou quoi ? Contrairement à toi j'ai une vie moi au moins et j'ai pas besoin de jouer le petit toutou personnel de mes grands frère ou de vouloir ressembler trait pour trait à ma mère. »

    Il avait touché une corde sensible ! Je ne cherchais pas à ressembler trait pour trait à ma mère mais j'aimais bien faire comme elle pour en garder le souvenir intacte. J'étais dans mes pensées pendant un moment et mon frère s'approcha plus de là où j'étais assise.

    « Dépêche toi donc de descendre au salon avant que père se fâche. »

    A ces mots j'étais étonnée et me leva d'un coup.

    « Et arrange toi un peu les cheveux t'as l'air de rien. »

    Je le regardais intriguée. Pourquoi devais-je arranger mes cheveux ? J'étais bien comme j'étais. Il avança sans moi puis je déposais le livre sur le bureau. Je sortais de la bibliothèque et descendit dans le salon. Mon père n'était point seul il était accompagné d'une femme, plus précisément ma tante. Je m'avançais vers eux et ma tante s'approcha de moi, elle n'avait rien de ressemblant avec ma mère pourtant elles étaient soeurs, contrairement à ma mère ma tante était une mégère. Un vieille femme rabougris avec un sale caractère.

    « Et bien ma petite comment oser vous faire attendre votre tutrice. »

    Ma tutrice ? Que voulait elle dire par là ? Je n'osais lui répondre, toute parole aurait été inutile face à cette femme ou à mon père.

    « Hatêz vous donc mademoiselle, la calèche va partir dans peu de temps, vos bagages ont déjà été mis dans la voiture. »

    Je la regardais puis passa mon regard sur mon père puis à nouveau sur ma tante, avec un regard attristée. Pour une fois mon père m'adressa directement la parole.

    « Allons mon enfant ne faite pas cette tête votre tante à l'amabilité de vous accueillir chez elle, soyez donc reconnaissante. »

    Je hochais la tête puis ma tante vint me prendre dans ses bras puis m'attira avec elle vers la sortie. Je n'avais pas le temps de faire mes adieux à qui que ce soit et ça leur importait peu car lorsque je montais dans la calèche personne n'était dehors en larmes pour me faire ne serait-ce qu'un signe de la main. Je montais en voiture sans me retourne, une petite larme coulait sur ma joue et je faisais alors mes adieux en silence à la demeure qui m'avait accueillit pendant dix huit longues années.



    J'habitais chez ma tante depuis un bon moment. J'étais souvent seule dans cette grande maison car ma tante était toujours en déplacement à part moi il n'y avait que la gouvernante qui m'ignorait royalement, le jardinier qui s'intéressait à moi uniquement pour mon corps et le chat mon unique compagnon qui s'amusait à venir sur mes jambes à chaque fois ou qui grimpait sur mon lit quand j'étais couché dedans.

    Un soir l'envie de m'échapper de cette demeure était plus forte que tout, je voulais sortir voir du monde Je voulais que les gens sachent que j'existe. Je voulais être quelqu'un. Je voulais qu'on me remarque. C'est pour ça qu'un soir où tout le monde dormais je m'étais échappée en douce pour aller en ville. Un homme m'accosta et pour une fois je me sentais importante aux yeux de quelqu'un. Il m'amena avec lui dans un des bars de la ville. Je recommençais souvent mes escapades nocturne pour aller rejoindre des hommes dans des bars. Je finissais souvent dans leur lit, je me sentais enfin importante aux yeux des gens.

    Un soir alors que j'étais dans un bar, au bras d'un des hommes avec qui j'avais pour habitude d'être je remarquais un nouvel homme. Je ne l'avais jamais vu ici auparavant, moi qui avais pour habitude de traîner dans ce bar depuis des mois. Cet homme n'était pas comme les autres, il avait quelque chose de spécial, rien que le fait de le sentir dans cette salle était étrange. Il exerçait sur moi une force psychique anormal. L'homme avec qui j'étais me caressait le ventre et pour une fois cela ne me fit rien, en temps normal j'aurais apprécié ses caresses et je les lui aurais rendu mais là je n'y arrivais, j'étais comme paralysée par la présence de l'inconnu. En un rien de temps mon partenaire de la soirée hurlait de douleur, je ne comprenais pas ce qui se passait ! Je le regardais impuissante, ne sachant pas quoi faire je détourna le regard vers l'inconnu il avait les yeux fermés et semblait apprécier, voire même provoquer la douleur de cet homme qui m'avait en sa possession il y a peu de temps. Cela m'intriguait, je le regardais avec insistance et il me fallut un peu de temps pour réaliser ce qu'il était. Un vampire ! J'en avais vaguement entendu parler dans les bars mais jamais je n'aurais cru en voir un en chair et en os.

    Il s'approcha de moi, mon premier réflexe fut de reculer, j'étais effrayé mais ce qui s'en suivait me surprenais, il vint capturer mes lèvres dans un tendre baiser. Il était si imposant mais il ne me forçait pas à faire ce que je ne voulais pas faire. Je lui rendis son baiser ce qui me surprenais moi même Cependant j'avais envie d'aller plus loin. C'est ce qui arriva. Il s'empara de ma main et m'attira avec lui hors du bar. On traversa ensemble la ville en silence main dans la maintenant. J'avais l'air d'une petite fille innocente qui suivait volontairement le grand méchant loup. Il m'amena dans un endroit que je n'avais encore jamais visité et j'y entrais sans crainte. Je me sentais à mon aise près de lui, aucun homme ne m'avait fait cet effet là jusqu'à présent. La suite je la connaissais avant même d'atteindre notre destination finale, j'allais coucher avec lui, je voulais qu'il couche avec moi. Ce fut passionnée. Ce fut intense. Ce fut unique. Lorsque ce fut terminé, je m'endormais près de lui, contre lui, ma tête posée sur son torse.

    Mon réveil fut atroce après ce moment intense. J'avais mal, je sentais des crocs sous ma peau délicate. Je hurlais de douleur, je n'avais jamais eu autant mal. Je me cramponnais à celui qui venait de me mordre, ça ne faisait plus aucun doute il s'agissait bien d'un vampire et il était entrain de faire de mon une immortelle. Je serrais les lèvres pour étouffer mes cris de douleur mais je n'arrivais pas à ma retenir.

    « Ce n'est qu'un mauvais moment, ça va passer. »

    Sa voix me rassurait, m'apaisait quelque peu. Je relâchais mon emprise sur lui et m'allongea sur le dos aidé par mon inconnu dont je ne connaissais toujours pas le prénom. Pendant trois long jours j'étais entrain de mourir et de revenir à la vie en même temps. J'avais mal dans tout le corps mais la présence de mon créateur me rassurait, il prenait soin de moi comme si j'étais une petite enfant fragile. Il m'accordait toute son attention, en vingt ans de vie c'était la deuxième fois qu'une personne s'intéressait réellement à moi et même à moitié morte je pouvais sentir mon coeur qui s'arrêtait peu à peu de battre se réchauffer.

    Trois jours plus tard je me réveillais enfin, je n'avais plus mal sauf à la gorge. Elle était en feu et j'avais faim, très faim, ce qui était normal après trois jours de jeûne. Je regardais autour de moi et remarquais que j'étais seule dans cette grande chambre dont j'avais un vague souvenir. La dernière chose dont je me souvenais était que j'avais dormi un long moment. Je m'approchais de la fenêtre et ouvrit les rideaux, en un bon je me retrouvais de l'autre côté de la chambre à l'ombre. Le soleil venait de me brûler atrocement, je restais dans mon coin un moment jusqu'à ce que la porte s'ouvre. Son visage ne m'était pas inconnu, je l'avais déjà vu avant mais où ? Je ne me rappelais plus, mes idées n'étaient pas complètement en place après ce réveil.

    « Bienvenue dans mon monde ma douce. »

    Si j'avais eu du mal à reconnaître son visage ce n'était pas la même chose pour sa voix que je reconnu immédiatement. Je le regardais le sourire aux lèvres, je me rappelais de tout ce qui c'était passé. C'était l'homme qui m'avait prise au bar et amené chez lui. Celui qui m'avait fait l'amour passionnément, celui qui m'avait mordu et qui m'avait transformée. Il s'approcha de moi et je ne pu m'empêcher d'aller vers lui à mon tour.

    « J'ai faim! »

    C'était là les seuls mots que j'avais en tête, j'avais faim, je devais manger, ma gorge brûlait tellement et je sentais des petites veines se dessiner autour de mes yeux.

    « Je sais. Je t'ai même apporté le repas. »

    En une seconde il s'en alla de chambre et revint avec un homme, qui saignait au niveau du cou. L'odeur était si bonne, mais l'idée d'y goutter était répugnante. Je sentais mes canines s'allonger et ça faisait mal. Je me passais la langue sur la lèvre et la mordait, une goutte de sang dégoulina dans ma bouche, le gout était exquis mais pas autant que l'odeur du sang de l'homme en face de moi. Sans réfléchir je lui sauta au cou enfonçant mes dents, qui étaient maintenant des crocs dans sa chair et je savourais son sang sans scrupule. Je le vidais, plus j'avalais son sang, plus la brûlure dans ma gorge s'apaisait. Enfin lorsque j'en avais assez je le laissais tomber à terre. J'avais du sang partout autour de la bouche et je léchais mes babines pour nettoyer le sang qui restais puis regarda mon créateur qui avait un large sourire aux lèvres. Il prenait plaisir à me voir me régaler ainsi. Je m'approchais de lui pour l'embrasser et partager le peu de sang qui me restais sur les lèvres.

    « Merci pour ce délicieux met... »

    « Ezechiel. »

    « Merci Ezechiel. Je suis Jude. »

    Terminais-je avec un petit sourire.


    Les années passèrent et Ezechiel devient mon précepteur, il m'apprenait tout ce que j'avais à savoir. Ce que je pouvais, et ne pouvais pas faire. Il était toujours très attentionné avec moi, il me laissait souvent dormir avec lui et me donnait même la permission de l'embrasser. Avec le temps j'apprenais à maitriser mon don. Moi qui n'aimait pas passer inaperçue j'avais reçu le don de la téléportation.

    Ezechiel s'absentait parfois pendant quelques jours et il me manquait, je commençais à m'attacher de plus en plus à lui. A chaque fois qu'il revenais des ses escapades il avait l'odeur d'autres femmes sur lui, ce qui avait pour habitude de rendre jalouse. Je comprenais que j'étais entrain de tomber amoureuse de lui. Une fois il s'absenta pendant longtemps, j'attendais tellement son retour car je voulais lui avouer mes sentiments cependant il ne revenait. Il avait fait avec moi ce que son créateur avait fait avec lui. J'avais 201 ans quand il disparu.



    Les années passèrent et je cherchais Ezechiel, malheureusement je ne le trouvais pas. J'avais traversé le monde entier, vu plein de chose, connu pleins de monde. Une fois de plus abandonnée par la seule personne qui prêtait attention sur moi. Ma tristesse se transforma en dépression, puis en rage. Je passais ma rage sur les gens que je rencontrais. Je vidais les gens de leur sang pour le plaisir de le faire. Je m'amusais à faire peur à mes proies en me téléportant de gauche à droite avec eux tout en me nourrissant. Je prenais mon pied à être cruelle tout en traversant le monde entier. Au moins quand on me craignait l'attention était portée sur moi.



    Aujourd'hui je me suis stabilisée, plutôt que de faire le tour de monde encore une fois je parcoure les Etats-Unis sans but précis. Je pense toujours à Ezechiel après presque 200 ans sans l'avoir vu. Je me rappelle de lui dans les moindre détails. Son odeur, son visage, son corps, mais surtout sa voix. Après tout ce temps je garde encore espoir au fond de moi qu'un jour je le retrouverais.





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    Sarah




    Featuring : Eva Green, parce qu'elle est belle et que c'est l'avatar demandé par le pv
    Poste Vacant ? Oui, parce que le lien me plait, l'avatar, et que l'histoire est partiellement libre
    Pseudo :  Sarah
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    Avis sur le forum : très beau forum Very Happy
    Comment avez vous connu le forum ? sur best rpg
    Pourquoi t'es tu inscrit(e) ? parce que le forum m'a plu au premier regard
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jude

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